Les écrans tactiles interactifs sont devenus des outils numériques incontournables pour les entreprises, dans les salles de réunions, jusqu’aux salles de classe, où ils commencent à supplanter les tableaux blancs interactifs.
Les origines des écrans tactiles interactifs.
Le premier TBI (ou tableau blanc interactif) est commercialisé en 1991 et associait un vidéo projecteur, un ordinateur et un tableau blanc équipé de capteurs.
La sortie du smartphone de chez Apple, l’Iphone, en 2007 et de sa dalle tactile ne nécessitant pas de stylet a révolutionné la technologie du tactile et fait naître un intérêt grandissant chez le grand public pour ce genre de produit.
Les évolutions récentes dans ce domaine.
Courant des années 2000, de nombreuses dalles tactiles ont été commercialisées, pour s’adapter sur des écrans plats et les rendre tactiles.
Ce n’est qu’à partir de 2010 que les premiers écrans tactiles interactifs sont lancés sur le marché. Il existe maintenant trois technologies de détection avec chacune leur qualité. L’infra-rouge, la résistive et la capacitive. Les écrans font désormais la part-belle au LCD/LED, moins couteux en énergie, avec une haute résolution d’image (HD, Full HD ou plasma).
Quels sont les avantages d’un écran tactile interactif ?
Avec les nombreuses options existantes désormais sur le marché, il est simple de trouver des prix attractifs et des écrans tactiles interactifs pas chers.
Les avantages techniques sont nombreux, moins de branchements, moins de bruits dus à l’absence d’un vidéoprojecteur. L’installation est simplifiée, dans la mesure où même les enceintes sont intégrées et les soucis d’incompatibilité entre les divers éléments sont devenus de fait inexistants.
Les visuels obtenus sont d’une excellente qualité, sans devoir calibrer son écran, à l’inverse d’un TBI. Pour bien choisir son écran, le mieux est de s’adresser à un professionnel qui vous aidera à choisir parmi les différents modèles celui qui correspondra le mieux à vos besoins. 
